24 nov. 2008

Debatt: Adoption kan vara barnhandel

12 adoptés suédois de l'étranger se prononcent dans un débat...

Traduit de l'article Debatt: Adoption kan vara barnhandel publié le 8 novembre 2008 dans afondbladet.



Daniel Cidrelius, Danjel Nam, Mikael Jarnlo, Gitte Enander, Daniel Hansson, Patrik Lundberg, Malena Swanson.


L'adoption pourrait être un trafic d'enfants.


12 adoptés de l'étranger: les pays de l'ouest ne devraient pas permettre la traite des êtres humains.

Nous appuyons la décision du Ministère social de ne pas prolonger l'accord d'adoption avec le Vietnam.

Nous voulons protester contre la perspective centrée sur les occidentaux qui domine le business de l'adoption internationale, et défendre notre droit et celui de tous les autres enfants adoptés de ne pas avoir à vivre avec le soupçon que des irrégularités ont été commises dans le cadre de nos propres adoptions telles que de faux documents, de fausses identités et des histoires inventées trop fréquents, écrivent 12 adoptés des pays étrangers.

Le business d'adoption internationale depuis le début du millénaire a non seulement explosé en échelle avec maintenant près de 40 000 adoptions par an, mais a aussi été ébranlé par une série de rapports d'irrégularités. Jamais auparavant un si grand nombre d'enfants du tiers monde n'ont été adoptés par l'Ouest, mais en même temps, le business n'a jamais impliqué autant de scandales de corruption seulement dans les années 2000.

À cause de la baisse du taux de natalité dans l'Ouest et la prospérité croissante dans de nombreux pays du tiers-monde, l'adoption internationale fait aujourd'hui face à une situation sans précédent: il y a maintenant plus d'adultes sans enfant dans l'Ouest qui veulent adopter qu'il n'y a d'enfants dans le tiers-monde. Puisdes sommes croissantes d'argent en circulation ont marqué cette situation délicate pour des activités qui se développent de plus en plus en trafic d'êtres humains pur.

Par conséquent, des scandales d'adoption ont été documentés à maintes reprises au cours des dernières années dans les grands pays comme la Chine, le Vietnam, l'Inde, le Népal, l'Éthiopie, le Brésil, le Paraguay et la Guatemala. Cela a conduit de nombreux pays bénéficiaires tels que l'Allemagne, l'Angleterre, le Canada, lePays-Bas et l'Australie à mettre fin à leur accord avec les pays d'origine les plus frappés par la corruption.

La Suède, qui, proportionnellement, est le pays ayant adopté le plus grand nombre d'enfants d'origine étrangère au monde et a des agences d'adoption, a toutefois choisi d'ignorer les développements destructifs en étendant ses activités dans de nouveaux pays qui sont connus pour les trafics d'enfants et en continuant à adopter à partir de ces pays avec l'argument que les Suédois ont une morale plus élevée que les autres Occidentaux.

En 2002, par exemple, le centre d'adoption a obtenu l'autorisation de l'organisme d'État pour les affaires d'adoption internationale à adopter au Cambodge, en dépit des rapports sur la traite et les États-Unis qui avaient arrêté les adoptions de ce pays. L'autorisation a ensuite été levée après que l'ambassade de Suède au Cambodge ait protesté en référant aux trafics importants dans le pays.

Maintenant, cette tendance s'est récemment reprise par des affaires sociales qui a décidé de ne pas prolonger l'accord d'adoption avec le Vietnam en référence à la présence de la traite des enfants, et que le pays est de ne pas entrer dans la Convention de La Haye sur la protection des enfants dans les adoptions internationales. Cette convention, en 1993, destinée à freiner de plus en plus incontrôlable adoption industrie, mais la Suède a encore un certain nombre de
Suédois des agences d'adoption se livrant à des activités dans les pays d'origine, y compris la Corée, la Thaïlande et la Colombie, que pas signé la Convention.

Maintenant, ceci a été récemment répété par le Ministère social qui a décidé de ne pas prolonger l'accord d'adoption avec le Vietnam, en référence à la présence de trafic d'enfants et que le pays n'a pas pris la Convention de la Haye sur la protection des enfants dans les adoptions internationales. Cette convention, en 1993, était pour freiner l'industrie de l'adoption de plus en plus incontrôlable mais la Suède a encore un certain nombre d'agences d'adoption suédoises se livrant à des activités dans les pays d'origine, y compris la Corée, la Thaïlande et la Colombie, qui n'ont pas signé la Convention.

Nous tenons à exprimer notre appui à la décision du Ministère social de ne pas prolonger l'accord d'adoption avec le Vietnam. Les besoins des occidentaux de recevoir des enfants adoptés ne doivent pas diriger l'industrie de l'adoption internationale, risquant ainsi que le commerce des êtres humains soit légitimisé et légalisé.

En tant qu'adoptés de l'étranger, nous voulons protester contre la perpective centrée sur l'Ouest qui domine aujourd'huit le business de l'adoption internationale, et nous voulons défendre notre droit et celui des autres enfants adoptés de ne pas avoir à vivre avec le soupçon que des irrégularités ont été commises dans nos propres adoption, comme elles sont malheureusement trop fréquentes avec de faux documents, de fausses identités et des histoires inventées qui sont les conséquences des beoins des adultes et la recherche du profit qui régissent le business d'adoption internationale.

Les débatteurs d'aujourd'hui.

Daniel Cidrelius, anthropologue social et adopté du Sri Lanka

Gitte Enander, avocate juriste et adoptée la Corée.

Charlotta Göthlin, Information et adoptée de la Corée.

Daniel Hansson, étudiant juriste et adopté de la République Dominicaine.

Linda Place, PhD et adoptée de la Corée.

Mikael Jarnlo, social and adopté de l'Éthiopie.

Fatima Jonsson, PhD et adoptée de la Corée.

Patrik Lundberg, a journalist and adopted from Korea.

Danjel Nam, journaliste et adopté de la Corée.

Helena Nilsson, comportementaliste et adoptée de la Corée.

Matilda Sjödell, enseignante et adoptée de la Corée.

Malena Swanson, avocate juriste et adoptée de la Corée.

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